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Quand Nicolas Sarkozy déroulait le tapis rouge au colonel Kadhafi

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vendredi 15 mai 2015

Les nouveaux républicains aux aboies

Les HDT de Sarko sont aux aboies. Ils sont complétement paumés, désemparés et impuissants devant les 2  nouvelles mamelles de la France. L'étau se resserre de plus en plus. La date des régionales arrive à grand galop.

Robert Chardon, maire UMP de Venelles (Bouches-du-Rhône) et vice-président de la communauté de communes du Pays d’Aix-en-Provence a twitté un message odieux et indigne d’un personnage politique républicain.

 #NSDIRECT il faut interdire le culte musulman en France Robert Chardon Maire de Venelles

QUELLE DIRECTION PREND LA FRANCE ?

Réponse : FRONT NATIONAL.

mardi 22 février 2011

Khadafi l'assassin et Bouteflika le manipulateur

La France avait reçu le dictateur libyen pour une visite de cinq jours en France, les bras grands ouverts... N. Sarkozy s'est plié à ses exigences débiles et indignes au point l'installer dans sa tente en plein cœur de Paris.

Il a aussi soutenu la présence  de Bouteflika au G8 pour lui permettre de faire passer sa révision de la constitution et crédibiliser sa participation à un 3ème mandat en échange de sa participation au sommet de Paris pour l'UPM

" La rencontre de la dernière chance Le président français Nicolas Sarkozy croit encore pouvoir convaincre son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika, de donner son OK pour assister au sommet de Paris et partant, donner son approbation pour l’Union Pour la Méditerranée (UPM). Le Quai d’Orsay a, en effet, rendu public un communiqué annonçant une rencontre bilatérale entre les deux présidents à Tokyo, en marge des travaux du sommet du G8. Que Sarkozy rende public ce tête-à-tête avec Bouteflika, en dit long sur son forcing pour arracher le «oui» de son hôte plutôt peu emballé. Le président français tente une pression médiatique sur son homologue algérien pour le pousser à pointer, le 13 de ce mois, à Paris. Or, les choses ne sont pas si simples. Jusqu’à cette rencontre de «la dernière chance» à Tokyo, la tendance, en Algérie, est plutôt pour un boycott ou à la limite une sous représentation sans engagement. Alger est resté de marbre face à un intense ballet diplomatique hexagonal qui a fait se succéder Michel Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, Jean Louis Borloo de économie et du co-développement, Bernard Kouchner des Affaires étrangères et même François Fillon, Premier ministre, au palais d’El-Mouradia. Les réserves d’Alger, elles, demeurent entières. L’Algérie considère -et elle l’a fait entendre officiellement- que le projet annoncé reste entouré de flou."